En coproduction avec les cavaliers et les chevaux de Pagnozoo et avec der Himmlische Cantorey
Première partie 1 – Kyrie eleison – chœur Gloria 2 – Gloria in excelsis Deo – solistes et chœur 3 – Gratias – Trio pour contralto, ténor et basse 4 – Domine Deus – ténor solo 5 – Qui tollis – Duo pour soprano et contralto 6 – Quoniam – basse solo 7 – Cum Sancto Spiritu – chœur |
Deuxième partie
- Credo
- 8 – Credo – solistes et chœur
- 9 – Crucifixus – soprano solo
- 10 – Et resurrexit – solistes et chœur
- 11 – Prélude religieux (pendant l’Offertoire) – piano puis harmonium solo
- Non numéroté – Ritornello (9 mesures d’harmonium)
- 12 – Sanctus – solistes et chœur
- 13 – O salutaris Hostia – soprano solo
14 – Agnus Dei – contralto et chœur
Ensemble Cristofori et « Die Himmlische Cantorey »
Avec les cavaliers et les chevaux de PagnoZoo
Musiciens
Veronika Winter, soprano
Lucia Boisserée, soprano
Johanna Kaldewei, soprano
Tobias Hechler, altus
Yongbeom Kwon, altus
Johann Moritz von Cube, altus
Christian Georg, tenor
Richard Resch, tenor
Jan Kobow, tenor
Sebastian Noack, basse
Joachim Höchbauer, basse
Manuel Nickert, basse
Jérôme Granjon : piano érard
Marc Fitze : harmonium
Arthur Schoonderwoerd : direction
Cavaliers
Romane Olivier, Caroline Pagnot, Théo Miler et Jérôme Sefer.
Les chevaux
Jasmin, Isidor, Auckland, Neomio, Zinzin, Madrigal, Netcho, Fuego et Hublot
Dans la préface de la petite messe Rossini écrit : « Petite messe solennelle, a quatre parties, avec accompagnement de deux pianos et harmonium, composée pour ma villégiature de Passy. Douze chanteurs des trois sexes, hommes, femmes et castrats3 seront suffisants pour son exécution, savoir huit pour les chœurs, quatre pour les solos, total douze chérubins. Bon Dieu, pardonne-moi le rapprochement suivant : douze aussi sont les apôtres dans le célèbre coup de mâchoire peint à fresque par Léonard, dit la Cène, qui le croirait. Il y a parmi tes disciples de ceux qui prennent des fausses notes ! Seigneur, rassure-toi, j’affirme qu’il n’y aura pas de Judas à mon déjeuner et que les miens chanteront juste et ‘con amore’ tes louanges et cette petite composition qui est hélas ! le dernier péché mortel de ma vieillesse »